logo

Le départ

Dimanche 5 avril 2009, le réveil sonne à 6h30 après seulement 4 heures de sommeil.

Les derniers préparatifs et le bouclage des sacoches se sont terminés la veille à deux heures du matin concluant un semaine très chargée.

Le déménagement, l'organisation des pots de départ, les achats de dernière minutes et les aurevoirs se sont enchaînés jusqu'à ce matin. Un dernier petit déjeuner à Vauvert et nous voilà partis vers Nîmes dans la douceur matinale, empruntant une route qui m'est particulièrement familière (c'est celle que je prenais durant toutes mes années de lycée).

Nous arrivons bien à l'avance à la gare de Nîmes: nous ne raterons pas notre premier train! Nous avons une heure pour prendre un dernier pot avec ma sœur et mon père venus pour nous dire aurevoir sur le quai.

Les difficultés commencent! Il faut hisser nos lourds vélos dans le wagon du vieux TER délabré qui va nous conduire jusqu'à Marseille.

Persil nous intercepte à Marseille pour récupérer une housse de clic clac, ultime aléas d'un déménagement mouvementé.Seulement dix minutes de changement pas le temps de trinquer, nous sommes déjà en route vers Nice puis Ventimille. Dans ce corail nous avions pris un billet pour le vélo, mais il n'y avait pas de wagon vélo. En comparaison avec les trains italiens que nous emprunterons plus tard - ou il y a toujours un espace pour les cylces- la SNCF a des efforts à faire de ce côté là.

Nos premier parcours ferroviaire s'achève à Turin ou nous passons une courte soirée avant de repartir le lendemain matin pour Venise.